Jeunesse, fer de lance de la Nation. Nulle part ailleurs que dans l’Armée, cette analogie ne s’exprime avec autant de pertinence. Ce à plus d’un titre.
D’abord, la pertinence de la réciprocité d’attirance, identique l’une à l’autre, l’Armée trouvant dans la jeunesse l’intarissable source de jouvence lui permettant un renouvellement constant de sa vitalité, la jeunesse embrassant dans l’Armée l’horizon de son désir d’épanouissement.
Ensuite, la pertinence de la mise en commun des capacités et des volontés dans l’accomplissement d’un devoir noble et exaltant. A la réalité, une mission multidimensionnelle touchant à la quasi-totalité des domaines en rapport avec la sécurité et le bien-être de nos populations.
C’est ainsi qu’en contrepartie des ressources qu’elle met à disposition, l’Armée attend de la jeunesse qu’elle porte la Patrie à cœur, qu’elle se montre déterminée à la défendre coûte que vaille, et partout où besoin est.
En addition de ce fondement ontologique capital qui tient aussi bien de la vocation que de la conviction, la jeunesse désireuse de servir sous uniforme militaire se doit de présenter de bonnes aptitudes intellectuelles ; aux fins d’assimilation des méthodes de réflexion, de maitrise des systèmes techniques de plus en plus évolués, et d’appropriation des procédés d’action qui sont loin de n’être que la force.
Ainsi se justifient les épreuves physiques, les examens biologiques, les tests psychotechniques et autres enquêtes de moralité.
Un assortiment de prérequis visant à s’assurer de la santé, des capacités et de la probité de celles et ceux retenus au terme des processus de sélection.
En insistant sur l’armée, puisqu’elle est ici représentée, il convient de relever que celle-ci est à la recherche d’une