Le temps des remords et du retour dans la Raison, donnera lieu à l’identification des auteurs intellectuels et moreaux, politiques et financiers, des entreprises séditieuses.
Aucune vexation ni colère, n’autorise que des citoyens se détestent au point d’en arriver au pire. Aucune rancœur ni désir de vengeance ne mérite d’être exprimé par la destruction de notre cadre de vie collectif. Aucune entorse dans la gestion de notre patrimoine ne devrait conduire à des entreprises de lynchage médiatique. Aucune raison ni aucun dogme, aucune idéologie ni aucune doctrine, ne saurait prescrire des crimes ignobles, des destructions et des assassinats de jeunes écoliers.
Nous l’avions dit, répété, réitéré et souligné à force d’arguments et de manifestations de patriotisme. La guerre si elle existe, le désordre s’il existe et la peur si elle prospère, procèdent non pas d’une volonté réelle des populations, mais plutôt des ambitions étriquées de quelques ratés, de quelques déçus, étourdis et perdus exilés à travers le monde ou présents auprès de nous. Il n’est point besoin de les pointer du doigt, tant ils sont connus et reconnus comme des fossoyeurs de la paix.
Par ici, on s’en est donné à cœur joie, priant du matin au soir et toutes les nuits, pour que le Cameroun explose, pour que le chef de l’Etat disparaisse, pour que les rues soient subitement jonchées de cadavres et que le pays tout entier devenu un brasier, s’arrête et même change de nom. Nous disons attention, qui crache en l’air reçoit sur le nez.
Non, il n’y aura jamais rien de tout cela, parce que nous ne le permettrons pas, parce que nous nous interposerons et briserons les élans des porteurs et promoteurs de l’enfer et de la haine.
Chacun commence à comprendre, à se rendre compte, de ce que nous n’avons de cesse de clamer, en somme que les troubles résultent, des planifications et des souhaits machiavéliques, de quelques frustrés de l’extérieur et de l’intérieur. Non seulement ils ont commencé à se fatiguer, las d’attendre que le Cameroun s’effondre, mais ils ont déjà entrepris, pour quelques-uns, de revenir à la raison, de rentrer à la maison, de considérer la mère patrie comme indivisible. C’est très bien.
Le MPDR salue ce mouvement et encourage les repentis, auteurs intellectuels, moraux, politiques et financiers, à approfondir la démarche, à se positionner dès à présent, honnêtement et sans condition pour le dialogue, dans le cadre des institutions existantes, et en tenant compte de tous les acquis. Nous leur réserverons dans tous les cas, la plus prestigieuse et la plus sévère des vengeances, LE PARDON, parce que ce qui compte, c’est le Cameroun, c’est notre cité commune, notre maison commune, notre champ commun, notre destin commun. Tout est débattable et de manière inclusive, à condition que la paix règne et que la bonne foi, l’honnêteté et le sentiment républicain priment, de la forme de l’Etat, au Code électoral et au découpage électoral. Nous n’avons jamais fermé aucune porte./.
SHANDA TONME
Derniers commentaires
06.12 | 17:52
Initiative à encourager. Merci et bravo aux promoteurs du mouvement 👏👏
03.12 | 09:31
Buenas tardes, encantado de saludarte. Soy Jose
Quería escribirte porque me ha parecido interesante comentar contigo la posibilidad de que tu negocio aparezca cada mes en periódicos digitales como not
30.11 | 11:53
Bonjour Mme et toutes mes félicitations,
Je suis à Douala, je suis à la recherche de votre tisane. Avez-vous une représentation à Douala. Sinon comment faire pour avoir régulièrement votre produit.
28.11 | 21:45
Vive la folie de la littérature