Récapinfos

MINJEC : 𝗔𝘁𝗲𝗹𝗶𝗲𝗿 𝗱𝗲 𝗥𝗲𝗻𝗳𝗼𝗿𝗰𝗲𝗺𝗲𝗻𝘁 𝗱𝗲𝘀 𝗰𝗮𝗽𝗮𝗰𝗶𝘁é𝘀 𝗱𝗲𝘀 𝗝𝗲𝘂𝗻𝗲𝘀 𝗲𝘁 𝗱𝗲𝘀 𝗙𝗲𝗺𝗺𝗲𝘀 𝗽𝗼𝘂𝗿 𝗹𝗮 𝗰𝗼𝗵é𝘀𝗶𝗼𝗻 𝘀𝗼𝗰𝗶𝗮𝗹𝗲, 𝗹𝗲 𝘃𝗶𝘃𝗿𝗲-𝗲𝗻𝘀𝗲𝗺𝗯𝗹𝗲 𝗲𝘁 𝗹𝗮 𝗽𝗿é𝘃𝗲𝗻𝘁𝗶𝗼𝗻 𝗱𝗲𝘀 𝘃𝗶𝗼𝗹𝗲𝗻𝗰𝗲𝘀 𝗯𝗮𝘀é𝗲𝘀 𝘀𝘂𝗿 𝗹𝗲 𝗴𝗲𝗻𝗿𝗲 𝗮𝘂 𝗖𝗮𝗺𝗲𝗿𝗼𝘂n

Le vendredi, 30 Septembre 2022 à Bafoussam au Services du Gouverneur, la présentation du Programme du jour a été faite par Mme Adeline DONTSOP, sous-directeur au MINJEC (Ministère de la Jeunesse et de l’education Civique). Il s’agissait en effet de l’opérationalisation de l’ 𝗔𝘁𝗲𝗹𝗶𝗲𝗿 𝗱𝗲 𝗥𝗲𝗻𝗳𝗼𝗿𝗰𝗲𝗺𝗲𝗻𝘁 𝗱𝗲𝘀 𝗰𝗮𝗽𝗮𝗰𝗶𝘁é𝘀 𝗱𝗲𝘀 𝗝𝗲𝘂𝗻𝗲𝘀 𝗲𝘁 𝗱𝗲𝘀 𝗙𝗲𝗺𝗺𝗲𝘀 𝗽𝗼𝘂𝗿 𝗹𝗮 𝗰𝗼𝗵é𝘀𝗶𝗼𝗻 𝘀𝗼𝗰𝗶𝗮𝗹𝗲, 𝗹𝗲 𝘃𝗶𝘃𝗿𝗲-𝗲𝗻𝘀𝗲𝗺𝗯𝗹𝗲 𝗲𝘁 𝗹𝗮 𝗽𝗿é𝘃𝗲𝗻𝘁𝗶𝗼𝗻 𝗱𝗲𝘀 𝘃𝗶𝗼𝗹𝗲𝗻𝗰𝗲𝘀 𝗯𝗮𝘀é𝗲𝘀 𝘀𝘂𝗿 𝗹𝗲 𝗴𝗲𝗻𝗿𝗲 𝗮𝘂 𝗖𝗮𝗺𝗲𝗿𝗼𝘂n.

Les modules du rapport de l’atelier de la veille, ont précisé :

- Les actions du MINJEC en faveur de la Promotion de la paix et de la lutte contre les violences basées sur le genre;

- Droits de l'homme et Promotion de la Paix : le rôle de la Jeunesse;

- Le renforcement du vivre-ensemble harmonieux au niveau Local;

- La contribution des femmes à la promotion et la consolidation de la paix en lien avec la résolution 1325.

Cette cérémonie d'ouverture s'inscrivait dans le contexte des activités de Mandela Washington Fellows qui s'implique dans la promotion des valeurs de citoyenneté. Après la tenue de symposiums régionaux qui visaient à identifier les ambassadeurs de la paix au niveau régional, 10 jeunes camerounais se sont démarqués en communiquant des messages qui encouragent leurs pairs à être des relais de la paix.

Le mot de bienvenue a été donné par Clifford Akonteh, président de l'association Mandela Washington Fellows. Il s’est dit heureux et ému de l'ampleur de l'événement qui pour lui est une pierre de plus pour la construction de la paix.

D'après lui, ce symposium se tient dans un contexte social où «les réseaux sociaux sont devenus plus que jamais un vecteur de discours de haine et de violence ». Ce qui de son point de vue, a participé à donné plus de force aux conflits au Cameroun, dans la partie d'expression anglaise du Cameroun et face à la secte islamique Boko Haram. C'est donc une occasion de découvrir de nouveaux moyens pour lutter contre ce fléau et y faire participer la Jeunesse.

Ethan Tabor, représentant de l'ambassadeur des USA au Cameroun, responsable des affaires publiques de l'institution américaine s'est félicité du résultat que les programmes du Mandela Washington Fellows a sur la Jeunesse, au moment où on dénombre plus de 2 millions de jeunes touchés par ces actions de promotion de la paix.

Les jeunes passés par les différents programmes de renforcements de capacité sont des vecteurs de « de dynamisme et de respect de droits de l'Homme et de la paix » dans leurs communautés. Il est donc logique, relève-t-il, de les célébrer et d'encourager leurs initiatives.

Enfin, il s'est dit impressionné par l'optimisme et la passion des jeunes Camerounais, par leur détermination à impulser le développement, notamment ceux qui ont participé aux challenges régionaux. « En les écoutant chaque jour, je me dis Waouh !!! ».

Richard Bale, Haut-Commissaire du Canada au Cameroun a débuté par un sujet qui lui est « cher ». Il déclare : « je porte une cravate d'une couleur particulière. C'est parce que c'est une journée spéciale pour nous au Canada, qui commémore la réalité de la colonisation et la souffrance des peuples autochtones » .

Dans ce sens, c'est indispensable dans toute société de s'arrêter et de voir dans quelle mesure on doit lutter contre la propagation de la haine, dont les conséquences sont bien souvent hors de contrôle. Il a par ailleurs apprécié le travail fantastique qui est effectué par l'ambassade USA et le MINJEC pour encadrer les jeunes.

Odile Pahai

Derniers commentaires

06.12 | 17:52

Initiative à encourager. Merci et bravo aux promoteurs du mouvement 👏👏

03.12 | 09:31

Buenas tardes, encantado de saludarte. Soy Jose
Quería escribirte porque me ha parecido interesante comentar contigo la posibilidad de que tu negocio aparezca cada mes en periódicos digitales como not

30.11 | 11:53

Bonjour Mme et toutes mes félicitations,
Je suis à Douala, je suis à la recherche de votre tisane. Avez-vous une représentation à Douala. Sinon comment faire pour avoir régulièrement votre produit.

28.11 | 21:45

Vive la folie de la littérature

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