« La CAN est sucrée », ne cesse-t-on d’entendre de la bouche des supporters camerounais. Commencée le 09 janvier 2022 au Cameroun, des infrastructures modernes ont été mis en place pour le confort des amoureux du ballon rond. Près de 7 stades (Japoma, Mfandéna, Olembe, Nkouekon, Roumde Ajdja…) ont été construits et rénovés pour accueillir 24 délégations pour cette 33ème édition de la Coupe d’Afrique des Nations de Football au Cameroun. L’affluence ne se faisant pas ressentir dans la plupart des matchs, toutefois quelques individus loin d’aimer le conformisme imposé, s’adonnent à des pratiques peu conventionnelles lors de certaines rencontres.
Il n’est pas rare d’apercevoir quelques supporters jeter des bouteilles en plastiques un peu partout, salir les murs des toilettes, jeter des bouts de plastiques aux abords des stades qui pourtant ont des poubelles mis a disposition des populations ou encore utiliser les sièges comme terrain de jeux. Des images ont été aperçues circulant dans les réseaux sociaux, montrant des actes irrévérencieux de certains individus sur les nouvelles infrastructures flambant neuf.
Cette cohorte d’actions n’empêche pas pour autant le bon déroulement de la CAN TotalEnergies 2021, néanmoins le civisme devrait être de mise afin que les stades soient mieux conservés pour accueillir les différentes équipes jusqu’à la finale du 06 févier 2022. La CAN demeure sucrée dans tous les stades affrétés pour cette édition spéciale au Cameroun pays des « Lions Indomptables ».
Odile Pahai
Derniers commentaires
06.12 | 17:52
Initiative à encourager. Merci et bravo aux promoteurs du mouvement 👏👏
03.12 | 09:31
Buenas tardes, encantado de saludarte. Soy Jose
Quería escribirte porque me ha parecido interesante comentar contigo la posibilidad de que tu negocio aparezca cada mes en periódicos digitales como not
30.11 | 11:53
Bonjour Mme et toutes mes félicitations,
Je suis à Douala, je suis à la recherche de votre tisane. Avez-vous une représentation à Douala. Sinon comment faire pour avoir régulièrement votre produit.
28.11 | 21:45
Vive la folie de la littérature