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Cameroun - Environnement /2è edition Du YOFAFA : Jean Marc CHATAIGNER : "C'est absolument essentiel de former des jeunes, de former des gens qui soient capable d'aller faire des requêtes de financements" 

Dans une mesure de préserver l'environnement et de mettre à contribution la jeunesse face à ses défis climatiques, le YOFAFA (Youth Forum and Adaptation Finance in Africa) 2024 met en évidence les moyens de recherche de financements et d'adaptation face à l'environnement. Le Cameroun étant une niche culturelle et environnementale diverses de nombreux défis sont ainsi à relever notamment ceux permettre une meilleure gestion de cet écosystème et un aspect bien plus important de son engagement.

Se tenant du 29 au 31 octobre 2024 à Yaoundé sis à Franco Hôtel, le YOFAFA qui compte de nombreux partenaires tels que le MINEPDED (Ministère de l'Environnement, de la Protection de la nature et du Développement Durable) , PACJA (Panafrican, Climate Justice Alliance), l'Union Européenne entre autres, se veut être un acteur clé dans la préservation de l'environnement et dans la recherche de financements. En effet, 200 jeunes activistes venus de plusieurs régions y assistent tout en proposant lors des ateliers, de nombreuses propositions susceptibles d'être financées et appliquées.


Pour se faire, Jean Marc CHATAIGNIER, Ambassadeur de l'Union Européenne au Cameroun et de la Guinée Équatoriale a tenu à encourager cette initiative qui se veut grandissante et nécessaire. Dans son propos introductif il mettra en exergue le modèle de développement de l'Europe et de l'Afrique qui ne sont pas semblables tout en citant l'énergie verte, l'hydro-électricité, l'énergie solaire, le recyclage etc.


Dans cette même lancée, il va demander à la jeunesse de se mobiliser pour l'ensemble des catastrophes naturelles, ceci afin de les réduire.


"Le changement climatique c'est une réalité partout dans le monde. Une réalité malheureuse que nous voyons au Cameroun avec des inondations avec plus de 500.000 victimes à l'intérieur du pays. La question de l'adaptation climatique est absolument essentielle et la question de financement doit de trouver de l'argent, des moyens pour s'adapter à ces changements climatiques qui sont aussi essentiels en particulier en Afrique où les moyens ne sont pas forcément les même qu'en Europe où en Asie où aux États-Unis donc, il faut travailler et préparer les changements climatiques.



Ce qui va se passer, ce qui est inéluctable, il va y avoir de plus en plus d'inondations et il va y avoir de plus en plus de sécheresse, il va y avoir de plus en plus de gens affectés, de gens qui vont perdre leurs maisons, qui vont voir leurs biens inondés donc il faut s'adapter réellement à ce changement. Il faut trouver des moyens de suffisance. Ce qui est important c'est d'avoir plus de financements, d'avantage de financements et c'est aussi d'avoir accès au financement qui existe. Il y'a des financements qui existent déjà et ce qui est très important, nous avons vu lors des ateliers.



Ce qui est particulier en Afrique Centrale, il n'y a pas de remise accréditée des fonds qui s'appellent le fonds CLIMAT VERT. Donc il n'y a personne qui peut appliquer les programmes du FONDS VERT, donc c'est absolument essentiel de former des jeunes, de former des gens qui soient capables d'aller faire les requêtes de financements, soient capables de monter des projets, soient capables de les soumettre parce-qu'il faut d'avantage de financements et aussi avoir les capacités de faire les demandes de requêtes et les demandes de fonds. " A-t-il terminé lors de son speech.



Odile Pahai

 
 
 
 

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ODILE PAHAI

Derniers commentaires

06.12 | 17:52

Initiative à encourager. Merci et bravo aux promoteurs du mouvement 👏👏

03.12 | 09:31

Buenas tardes, encantado de saludarte. Soy Jose
Quería escribirte porque me ha parecido interesante comentar contigo la posibilidad de que tu negocio aparezca cada mes en periódicos digitales como not

30.11 | 11:53

Bonjour Mme et toutes mes félicitations,
Je suis à Douala, je suis à la recherche de votre tisane. Avez-vous une représentation à Douala. Sinon comment faire pour avoir régulièrement votre produit.

28.11 | 21:45

Vive la folie de la littérature

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