Plus qu’une prise en charge, la MASO (Mutuelle d’Assistance et e Solidarité) offre différentes plateformes pour ses souscripteurs en mettant sur pied de nombreuses facilitations et avantages. Plus proche de ses populations, la MASO permet d’avoir 35% de réduction  dans chacune des factures du Complexe Hospitalier La MAMU. Sachant que la souscription est de 100 FCFA/Jr, la MASO laisse ainsi l’opportunité aux communautés de se soigner à moiindre coût et de bénéficier de nombreuses offres de facilitations favorobale au bien-être des populations.

Concernant l'assistance Socio-économique on peut citer :

 

- l'orientation au financement  à taux zéro pour exercer les activités génératrices de revenus ;


- Financement pour acquisition d'un matériel roulant à taux zéro qui fera du professionel de transport un chauffeur propriétaire ;


- L'assistance pour dépannage et réparartion du matériel roulant ;


- Financement pour acquisition d'un logement ave clé à taux zéro ;


- Assistance des évènements heureux et malheureux.  

 

La MASO est ainsi une plateforme d'aide et de lutte contre la précarité et la pauvreté. S'y inscrire est un signe de sagesse et de sécurité pour soi et son entourage. Avec la MASO la vie au Cameroun offre des opportunités de bonheur et de bien-être.


Contacts : +(237) 6 95 33 95 03 / +(237) 6 74 39 27 46 / +(237) 6 99 44 29 77

 
 
 
 

Cameroun – RENAPROV Finance S.A. : Avec 100 FCFA, la MASO offre une réduction de 35% dans chaque facture du Complexe Hospitalier La MAMU

Derniers commentaires

06.12 | 17:52

Initiative à encourager. Merci et bravo aux promoteurs du mouvement 👏👏

03.12 | 09:31

Buenas tardes, encantado de saludarte. Soy Jose
Quería escribirte porque me ha parecido interesante comentar contigo la posibilidad de que tu negocio aparezca cada mes en periódicos digitales como not

30.11 | 11:53

Bonjour Mme et toutes mes félicitations,
Je suis à Douala, je suis à la recherche de votre tisane. Avez-vous une représentation à Douala. Sinon comment faire pour avoir régulièrement votre produit.

28.11 | 21:45

Vive la folie de la littérature

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