Les techniques modernes de traitement abordent sans conteste l’usage de l’informatique d’où l’implication fonctionnelle du numérique. Ces techniques mettent en exergue la performance et l’efficacité du point de vue technique et matériel. Une session de deux semaines est donc organisée par l’intermédiaire du Reece international research consortium (Rirco) du Dr Marlyse PEYOU à Yaoundé, sis au lieu dit Ndi-Samba Tropicana.
En effet, cette session de travail et de recherches permettra de mettre sur pied différentes plateformes de gestions et d’applications des méthodes scientifiques et modernes dans ce même cheminement. Elle regroupe les étudiants de l’Université de Yaoundé 1, de la faculté de Médecine, du Département de Biochimie, au sein du laboratoire de recherche appliquée Rirco.
Ceux-ci vont travailler sur les médicaments traditionnels améliorés et leur corolaire. En outre, l’objectif de cet atelier, est de mettre sur pied des formules dont l’efficacité et l’innocuité sont vérifiées et vérifiables, mais également de pouvoir évaluer dans quelle mesure administrer de façon conventionnelle, les médicaments traditionnels améliorés aux populations et même à l’échelle africaine.
« Vous avez que l’industrie du m édicament vaut 1000 milliards de dollars en terme de chiffre d’affaires, maintenant la part de l’Afrique dans ce gros chiffre d’affaire c’est 1%. La première chose que nous voulons faire, c’est maintenant de mettre la science, la recherche dans nos médicaments traditionnels, pour que nous puissions au moins augmenter nos parts de marchés au niveau mondial.
Et par ce canal, encourager l’entrepreneuriat au niveau de l’industrie pharmaceutique, et créer des emplois, faire entrer des dévises pour contribuer à l’essor, au bien-être des populations camerounaises et africaines. Et la deuxième chose c’est que vous savez, il n’y a pas beaucoup de formations enbio- informatique, chez nous en Afrique, et la bio-informatique vous permet de pouvoir manipuler une sillicone, ca veut dire avec un ordinateur, le matériel génétique de tout organisme qui existe sur terre.
Ce faisant, vous pouvez vous-même concevoir, non seulement des médicaments, concevoir des outils pour pouvoir détecter les épidémies qui sévissent dans le monde en même temsp que dans les pays occidentaux. Donc c’est de donner le pouvoir aux scientifiques, aux jeunes et aux tradi-praticiens, de ne plus attendre que les autres détectent, que les autres fabriquent les médicaments, que nous puissions le faire nous-même, évaluer, on évalu la txicité, on évalue l’efficcaité, et pouvoir les mettre aussi dans une pharmacie.
Vous comprenez, avoir des rayons spécialisés en médecine conventionnelle et d’autres spécalisés en médecine traditionnelle améliorée, où il y’a eu une évaluation de recherche. Nous avons construit un plan d’appui à la valorisation et à la promotion du médicament traditionnel amélioré. Et dans ce plan il était questions aussi de créer un répertoire de nos plantes, afin d’en promouvoir l’usage. Donc au sortir de cette formation, les étudiants et moi, avons jetés les bases pour avoir un répertoire de nos plantes evalués de manière scientifique pour accompagner et les médecins, les pharmaciens, les chercheurs, la population, à utiliser de manière rationnelle les plantes, et en connaître avec des doses définies qui sont en deça des doses toxiques. » A signifié le Dr Peyou ce 22 août 2022.
« Nous sommes ici dans un laboratoire de recherches appliquées, ici nous essayons de valoriser la médecine traditionnelle africaine, de valoriser, les ressources du terroir. Nous travaillons sur les médicaments traditionnels améliorés, nous mettons sur pied des formules, des formules que nous testons, nous vérifions l’efficacité, l’innocuité et même dans quelle mesure administrer de façon conventionnelle ces médicaments.
En outre, nous valorisons également les technologies d’ailleurs, avec les leçons de bio-informatique, qui permettent de faire face à des nouvelles pandémies éventuelles, de rechercher de nouvelles cibles thérapeutiques.
Je vais prendre l’exemple de la Covid-19 qui nous a pris de court, on allait dans tous les sens, on ne savait pas comment traiter. Avec la bio-informatique, on a la possibilité, on a la capacité de savoir d’où elle vient, quelles sont les cibles qui peuvent répondre parallèlement au traitement et comment tester les différentes solutions que ce soit d’origine locale, ou d’origine exogène sur ces différentes maladies à de la Covid-19. » A réagit le Dr Mouliom.
Odile Pahai
Derniers commentaires
06.12 | 17:52
Initiative à encourager. Merci et bravo aux promoteurs du mouvement 👏👏
03.12 | 09:31
Buenas tardes, encantado de saludarte. Soy Jose
Quería escribirte porque me ha parecido interesante comentar contigo la posibilidad de que tu negocio aparezca cada mes en periódicos digitales como not
30.11 | 11:53
Bonjour Mme et toutes mes félicitations,
Je suis à Douala, je suis à la recherche de votre tisane. Avez-vous une représentation à Douala. Sinon comment faire pour avoir régulièrement votre produit.
28.11 | 21:45
Vive la folie de la littérature