Cameroun – Economie Numérique : Le CADIF, une référence dans le développement stratégique de l’économie du secteur public et privé
Avec pour thématique : « La contribution de l’économie numérique à l’émergence du Cameroun et de la sous-région Afrique Centrale », le CADIF (Central Africa Digital Fair) s’est tenu du 22 au 24 févier 2023 à Yaoundé au Palais des Congrès. Organisé sous le très Haut patronage du chef de l’Etat S.E. Paul BIYA, cet évènement d’envergure a vu la participation de nombreux pays de la sous-région Afrique Centrale, ainsi que 8 panels composés d’experts qui ont tour à tour triés au volet de nombreuses problématiques liées à l’économie numérique, des recommandations mais surtout des améliorations dans les services publics et privés.
Proposé par le cabinet Opportunities in Africa de Jean-Calvin MENGOUMOU AYISSI, el CADIF s’est terminé avec une note positive parametrés par des conférences et des échanges stratégiques et nécessaires sur la pratique de l’économie numérique.
« Les participants au premier salon numérique Central Africa Digital Fair, ont constaté l’intérêt majeur d’une rencontre de ce niveau dont la plus haute personnalité du pays aura saisi l’enjeu central qui aura apporté son patronage au déroulement des activités. Le développement industriel du continent et celui particulièrement de la Sous-région est une nécessité aujourd’hui, qui a été soulignée par Monsieur le Scrétaire Général du Ministère des Postes et Télécommunications et qui s’est apesanti à la fois dans son allocution d’ouverture sur les potentialités de l’Afrique et plus particulièrement de l’Afrique Centrale en matière de développement grâce au numérique. Ce Secrétaire Général a dans son allocution, mis l’accent sur la necessité de tirer profit de cet outil particulier qui est mis à la disposition des populations pour réaliser les impératifs de développement et de bien-être des populations de la sous-région et au-deoà de celles-ci de l’Afrique.
Pour adresser cette problématique particulière, huit (8) panels avaient été mis en place. Les huit panels étaient animés à la fois par des modérateurs et des rapporteurs de très haut niveau, qui ont contribués avec le public qui avait pris la peine de se déplacer à la bonne compréhension de la thématique centrale et de ses différentes déclinaisons, notament sur cinq (5) points de saillances. Le premier point de saimmance avait trait à l’impact du numérique sur l’organisation, le fonctionnement et l’efficacité des services publics en Afrique Centrale. Le deuxième point avait trait aux législations, la manière dont les législations se modifient et modifient l’ensemble du secteur et bien entendu l’ensemble des pré-requis relatifs au développement économique, grâce et par le numérique.
Le troisième panel s’est interessé au service financier issu du numérique, mais également à la manière dont les services raditionnels sont impactés, modifiés par le numérique. Le panel suivant examinait les questions de partenariat entre le public et le privé pour mettre en exergue la capacité des uns et des autres à se mobiliser ensemble dans le contexte du numérique et à produire de la richesse, du bien-être au bénéfice de la population. La dernière approche, avait trait à la co-régulation et à la régulation dudit secteur. » A signifié le Pr Byomo Assala durant la cérémonie de clôture.
Plusieurs panles ont d’ailleurs meublé ce salon de Haut niveau :
« La nécessité d’accroître actuellement les emplois issus de la majorité du développement du numérique et l’exploration d’une société qui permette à la population de profiter des effets bénéfiques du développement économique en général. Les conférenciers ont notés cependant que la réalité de la situation africaine présente un certain nombre de problèmes liés à la pluralié, la multiplicité des hétérogenéités dont on peut dire que la multiplication constitue un frein non pas redhibitoire, mais essentiel à l’acquisition profitable du numérique dans le développement de l’Afrique.
Ainsi, les secteurs d’activités qui ont été analysés, l’ont été sur la base précisémment à la fois d’un diagnostic effectué par la plupart des intervenants, ensuite, dès la manière dont le numérique dévoile l’ensemble des problèmes envisagés dans chacun de ces secteurs, c'est-à-dire le numérique apparaîtrait ici comme un révélateur de problèmes et un révélateurs des difficultés, mais en même temps, troisièmement, la façon dont le numérique peut contribuer, précisément à résoudre l’ensemble des problèmes nés de cela, il est apparu ainsi.
En ce qui concerne les services publics, il est nécessaire qu’il y’ait une convergence de vues, qu’il y’ait une politique globale du numérique qui passe par la convergence à la fois des institutions, des pratiques des mécanismes, voire même à un renversement des perspectives sur les rôles et les fonctions des administrations publiques et du service publique en contexte du numérique. Ce qui suppose qu’il y’ait au-delà des plateformes d’actions convergents, entre les différents services publics impliqués, un véritable guide, une orientation et des choix politiques assumés, avec un personnel formé à ce nouveau paradigme. » A terminé le Professeur.
Odile Pahai
Derniers commentaires
06.12 | 17:52
Initiative à encourager. Merci et bravo aux promoteurs du mouvement 👏👏
03.12 | 09:31
Buenas tardes, encantado de saludarte. Soy Jose
Quería escribirte porque me ha parecido interesante comentar contigo la posibilidad de que tu negocio aparezca cada mes en periódicos digitales como not
30.11 | 11:53
Bonjour Mme et toutes mes félicitations,
Je suis à Douala, je suis à la recherche de votre tisane. Avez-vous une représentation à Douala. Sinon comment faire pour avoir régulièrement votre produit.
28.11 | 21:45
Vive la folie de la littérature