Cameroun : Vanessa, une kamikaze à l'intérieur du GICAM
Vanessa Ongmetana, vous connaissez ? Non ? Eh bien, surtout ne perdez pas une minute de votre vie à faire sa connaissance. Mais avant d’aller plus loin, soyons charitables : cette jeune effrontée (qui s’occupait de la CDPME) a été licenciée sans indemnité du Gicam pour avoir effectué une bourde digne d’une kamikaze suicidaire. En effet, comme une âme au service du mal, cette jeune dame a diffusé sur les réseaux sociaux une vidéo non autorisée du sous-préfet de Douala 1er. Ce dernier s’était présenté devant le portail du Gicam alors que l’Assemblée générale de l’organisation patronale était déjà en cours et qu’aucun responsable n’était disponible pour l’accueillir.
Non contente de diffuser sans autorisation l’image d’une autorité administrative, elle y a ajouté un commentaire à la fois dégradant et incendiaire : « Le président du Gicam défie l’autorité de l’Etat interdisant l’accès du Gicam au sous-préfet de Douala 1er pour stopper une manifestation interdite ». Rien de moins ! Informée, l’administration du Gicam a pris ses responsabilités et diligenté une enquête. D’ailleurs, était-ce vraiment nécessaire ? Il suffisait d’examiner les images et d’observer la configuration des lieux pour soupçonner d’où le coup était parti. Pas de doute, c’était de la fenêtre de cette intrigante de salon.
Les enquêteurs n’ont pas eu de peine à la confondre. Son téléphone ayant « parlé » et livré la vérité. Elle a donc été virée du fait de cette rupture de confiance. De toutes les façons, sa lettre de licenciement était déjà prête pour l’ensemble de son œuvre au Gicam : fausses factures, détournements financiers, diffamation, publications mensongères. Elle a donc été chassée mais au lieu de faire profil bas, elle inonde de fausses informations certaines pages internet et quelques journaux à gages pour dénoncer une séquestration imaginaire dont elle aurait été la victime et toutes sortes de choses qui ne relèvent que d’une imagination débridée, voire déviante.
Le problème avec ce genre de têtes brûlées, c’est qu’elles ne savent pas jusqu’où ne pas aller trop loin. Cette kongosseuse professionnelle a dépassé les bornes en diffamant la Directrice exécutive. Une plainte a été déposée à son encontre. Elle a beau fuir son domicile pour ne pas décharger la plainte mais elle finira par s’expliquer devant un tribunal. Ça ne sera pas joli joli … Espérons que son commanditaire, un professionnel des prétoires, ne l’abandonnera pas au milieu du gué, sans emploi et sans le sou.