Scandale : Comment l'ancien ambassadeur du Cameroun en Suisse, Jean Simplice NDJEMBA ENDEZOUMOU a vendangé sa vie, pour s'en prendre injustement à Samuel MVONDO AYOLO
Comment l'ancien ambassadeur du Cameroun en Suisse, Jean Simplice NDJEMBA ENDEZOUMOU a vendangé sa vie, pour s'en prendre injustement à Samuel MVONDO AYOLO
En 2003, Jean Simplice NDJEMBA ENDEZOUMOU est nommé ambassadeur du Cameroun en Suisse, par le président de la République, Paul BIYA. Tout se passe très bien jusque-là. Le diplomate n'en est pas moins ( à un certain degré) le gendre de Martin BELINGA EBOUTOU dont il a épousé la nièce, la nommée Marie Danielle EKOMBO MENDOGO. Il se dit d'ailleurs que c'est l'ancien directeur du cabinet civil de la présidence de la République dont il avait bénéficié des largesses, qui avait donné un coup de pouce à son ascension sociale.
Et comme le disent les Saintes Écritures, c'est par sa propre folie, que l'ancien ambassadeur du Cameroun à Berne, Jean Simplice NDJEMBA ENDEZOUMOU, va briser sa propre destinée. Les manifestations relatives à la Fête Nationale du 20 Mai, ont lieu à l'ambassade du Cameroun en Suisse. Accroc aux femmes à la petite éducation, l'ambassadeur du Cameroun à Berne, Jean Simplice NDJEMBA ENDEZOUMOU a convié plusieurs de ses concubines aux cérémonies, profitant de l'absence de son épouse, en séjour au Cameroun. En l'absence de l'épouse de l'ambassadeur, les nombreuses femmes de joie du diplomate se disputent la vedette. Une bagarre éclate entre ces filles de joie, qui dans leur antagonisme, vont déchirer le drapeau du Cameroun. Pour les autorités de la Confédération helvétique, l'incident est suffisamment grave pour être banalisé. Il s'agit d'une chancellerie.
Des enquêtes sont ouvertes, et les autorités suisses concluent que l'ambassadeur Jean Simplice NDJEMBA ENDEZOUMOU vit en fait sous le régime polygamique en Suisse. Cela est inexcusable : la polygamie est strictement interdite en Suisse. Berne saisit Yaoundé et lui signifie que Jean Simplice NDJEMBA ENDEZOUMOU ne peut plus être accepté comme ambassadeur du Cameroun à Berne. Le diplomate camerounais est rappelé par Yaoundé. Il végète pendant deux ans au pays, et compte sur Martin BELINGA EBOUTOU l'oncle de son épouse et non moins directeur du cabinet civil de la présidence de la République, pour intervenir auprès de Paul BIYA le chef de l'État. Mais Martin BELINGA EBOUTOU fait savoir à son gendre que vu la gravité des faits, il ne peut pas prendre le risque de plaider sa cause auprès du président de la République, au risque de se voir limoger de ses fonctions. Entre temps, l'épouse de Jean Simplice NDJEMBA ENDEZOUMOU écrit à la Première dame Chantal BIYA, pour lui faire part de sa détresse. La Première dame instruit le ministre d'État/ Sgpr Laurent ESSO, de mener l'enquête sur cette sordide affaire. les faits sont établis: l'ambassadeur Jean Simplice NDJEMBA ENDEZOUMOU est effectivement au cœur d'un scandale où des femmes revendiquant plus qu'une proximité avec lui , ont livré une bagarre au sein même de l'ambassade du Cameroun à Berne, le 20 Mai, et déchiré le drapeau. Chantal BIYA instruit qu'une résidence soit trouvée à Marie Danielle EKOMBO MENDOGO epse NDJEMBA ENDEZOUMOU à Paris, pour qu'elle y vivent avec ses enfants. Jean Simplice NDJEMBA ENDEZOUMOU a fait fabriquer une grosse de divorce pour faire savoir aux Suisses qu'il n'est plus polygame, et qu'il peut donc regagner son poste à Berne. Les Suisses engagent des vérifications : la grosse est fausse. Les carottes sont donc cuites pour le diplomate camerounais.
Au bout d'un moment, toute la famille de Jean Simplice NDJEMBA ENDEZOUMOU rentre au Cameroun. Martin BELINGA EBOUTOU s'emploie alors à trouver du travail à sa nièce. Marie Danielle EKOMBO MENDOGO est recrutée dans une chocolaterie, avec en prime, un salaire mensuel de trois millions francs CFA. La nièce du directeur du cabinet civil de la présidence de la République se refait une vie, et construit sur son lot qu'elle a acquis en 2005, au quartier Messamendongo- Odza à Yaoundé, bien avant même son mariage avec Simplice NDJEMBA ENDEZOUMOU en 2010.
Mais le 10 août 2024, Jean Simplice NDJEMBA ENDEZOUMOU, diplomate retraité habitant le quartier EKOUNOU, débarque chez son épouse, occupe de force la maison, aidé par ses enfants issus d'autres lits, ainsi que d'autres membres de la famille à la situation sociale précaire. La scène est d'une rare violence. Marie Danielle EKOMBO MENDOGO s'en tire avec plusieurs fractures, dont une au bras. Son état préoccupe le personnel de l'hôpital de district d'ODZA où elle a été référée en urgence. Elle porte encore un plâtre au bras jusqu'à ce jour, et son incapacité physique est avérée.
Depuis un bon moment, le couple vit des moments agités. Marie Danielle EKOMBO MENDOGO demeure toutefois l'épouse légitime de Jean Simplice NDJEMBA ENDEZOUMOU, même si ce dernier a demandé le divorce contre elle. Les enfants issus des premiers lits de Jean Simplice NDJEMBA ENDEZOUMOU occupent déjà la maison de l'épouse de leur père, comme bon leur semble, y faisant même venir d'autres membres de la famille. Marie Danielle EKOMBO MENDOGO est assiégée dans sa propre maison. Elle ne peut plus respirer ; elle est méprisée et insultée sur ses propres installations. Tout y passe : pratiques occultes, nuisances sonores et autres. Les violations de domicile sont monnaie courante. Excédée, Marie Danielle EKOMBO MENDOGO entreprend d'expulser les envahisseurs. Mais elle va subir des violences physiques et des outrages. Elle sera traitée de tous noms d'oiseaux par les membres de la famille de son époux qui l'ont assiégée dans ses propres installations. Elle ne reçoit aucun soutien de son mari (même la séparation de corps n'a pas encore été prononcée) face aux agressions des membres de la famille de ce dernier, quoiqu'elle ait fait profil bas. Des menaces de mort lui sont d'ailleurs proférées chaque jour.
Menacée de mort, Danielle EKOMBO MENDOGO a écrit à Martin MBARGA NGUELÉ le délégué général à la Sûreté nationale. Les motifs : " violation de domicile, coups, et blessures en coaction, destruction et pratique de sorcellerie". Dans sa lettre, Marie Danielle EKOMBO MENDOGO fait savoir que son mari est un violeur sans scrupules. Il a notamment violé plusieurs filles de sa famille dont nous taisons les noms pour des raisons de préservation de leur dignité et réputation. Il est aussi reproché au diplomate retraité d'avoir essayé de déposséder sa femme de sa maison, par acte de donation aux deux filles issues de leur union.
En somme, Marie Danielle EKOMBO MENDOGO est assiégée dans sa propre maison de Messamendongo, par les enfants issus des premiers lits de son mari, des neveux de cette même famille et autres, et craint donc pour sa vie.
Après avoir brisé sa destinée par sa propre folie, avec cette bagarre que ses multiples concubines avaient engagé au sein même de l'ambassade du Cameroun à Berne, lors des cérémonies de la Fête Nationale du 20 Mai, et déchiré le drapeau du Cameroun, Jean Simplice NDJEMBA ENDEZOUMOU passe plutôt le plus clair de son à s'en prendre au directeur du cabinet civil de la présidence de la République, Samuel MVONDO AYOLO, alors que ce diplomate retraité qui est connu pour sa boulimie des femmes, est seul responsable de son destin brisé. Pourquoi faire porter le chapeau de ses propres turpitudes à Samuel MVONDO AYOLO qu'il diffame sous tous les toits et à longueur de journée, au lieu de s'en prendre à lui-même ?
Derniers commentaires
06.12 | 17:52
Initiative à encourager. Merci et bravo aux promoteurs du mouvement 👏👏
03.12 | 09:31
Buenas tardes, encantado de saludarte. Soy Jose
Quería escribirte porque me ha parecido interesante comentar contigo la posibilidad de que tu negocio aparezca cada mes en periódicos digitales como not
30.11 | 11:53
Bonjour Mme et toutes mes félicitations,
Je suis à Douala, je suis à la recherche de votre tisane. Avez-vous une représentation à Douala. Sinon comment faire pour avoir régulièrement votre produit.
28.11 | 21:45
Vive la folie de la littérature