Cameroun - Showbizz : Affaire de Bail, Carine MONGOUE PDG de CARIMO EMPIRE victime d'abus

Il y’a quelques jours, le journaliste et lanceur d’alertes Boris Bertold a accusé l’entrepreneure MONGOUE KAMTCHUWE Carine Nina plus connue sous le nom de Carine Mongoue ou encore « Boss Lady » d’escroquerie envers ses bailleurs. En effet, ces derniers l’auraient contactés pour une affaire de loyers impayés et accusent la jeune femme d’abus qui aurait conduit un de ses bailleurs âgé de 80 ans en prison. Ca a été la consternation sur la toile. D’uns accusaient la jeune entrepreneure millionnaire, d’autres défendaient sa cause. Aux vues de toute cette marmaille, la PDG de l’entreprise CARIMO EMPIRE a notamment fait des directs afin d’éclairer l’opinion publique et ce jeudi 14 avril 2022, elle a ensuite fait un communiqué officiel.

« En 2019 nous avons loué un local pour abriter nos bureaux administratifs et notre agence centrale à Bastos Mini Prix.

1. Le bail a été contracté à but commercial pour une durée de trois ans tacitement renouvelable, le prix mensuel du loyer fixé à 500.000 Frs (Cinq Cent Mille) nous avons effectué un versement sur un an et une caution comme le stipule l’article 1er du contrat. N’ayant pas reçu de notification écrite six mois à l’avance comme l’exige la loi pour nous informer de la volonté de mettre fin à notre collaboration, ce contrat a été tacitement reconduit au 1er janvier 2022.

2. Aussitôt les réfections terminées avec l’accord du couple bailleurMr WAFO Joseph et Mme MAGUE Epse WAFO estimées à plus de trente (30) millions, avec construction du bâtiment à l’arrière qui abrite les unités de communication, marketing et ventes, ces derniers nous ont sommé de liberer les lieux par des agressions verbales diverses (ce qui s’apparente à de l’arnaque). Et même la correspondance de la PDG du 21 septembre 2020 leur demandant un numéro de compte pour le versement du loyer annuel a essuyé un refus ferme et une plainte a été déposée contre nous. Nous tenons à dire que nous avons invité le couple bailleur à une solution à l’amiable mais en vain.

3. Depuis ce moment là, le bailleur est resté su ses positions de nous voir partir par tous les moyens d’où sa mise en garde à vue pour violation de domicile avec menaces, décision qui ne nous incombe pas.

Dès lors, l’affaire est en justice et Mme Carine Mongoue se dit prête à partir à condition d’être remboursée au moins de la moitié de la somme investie. » A-t-on pu lire dans le communiqué de presse de ce jour.