Le Syndicat National des Instituteurs de l'Enseignement Technique (SYNIET) a tenu son premier congrès ce samedi 20 novembre 2021 à Yaoundé au lieu dit Cradat, sous le thème «Rôle du Mouvement syndical du secteur de l'éducation en période de troubles sociaux et de crise sanitaire ».
Plusieurs instituteurs ont répondu présent à l'appel du Président du SYNIET Ngadjeu II Nyasse afin d'élucider les contours et les pourtours de l'enseignement technique au Cameroun. Un secteur qui assure la formation des jeunes camerounais et participe à l'éveil des consciences .Mais malheureusement, les instituteurs de l'enseignement technique ne sont pas reconnus au prorata des efforts qu'ils accomplissent.
« Nous souhaitons que le Ministère du Travail et de la Sécurité Sociale puisse inscrire le SYNIET dans l'annuaire des syndicats au Cameroun », argue le Président. Dans un contexte marqué par de nombreux obstacles, le SYNIET s'est assigné pour mission de défendre les intérêts de ses membres vis à vis des chefs d'établissements. De ce fait, cela passe par la formation, «Pour être un bon syndicaliste, il faut se faire former » soutient Ngadjeu II Nyasse.
Le SYNIET a aussi entrepris de défendre les droits de ses membres qui enseignent aux régions du Nord-Ouest et du Sud-Ouest, de faire des propositions au Ministère des enseignements secondaires afin de combattre les pseudo-valeurs qui gangrènent le système éducatif. Plusieurs exposés ont meublé ce premier congrès du SYNIET ainsi que l'élection d'un nouveau bureau.
Yahaya Idrissou, envoyé spécial
Awoyang
16.09.2022 05:58
Très très intéressant
MBOKEZ
23.11.2021 17:08
Inédit 🥰
Derniers commentaires
06.12 | 17:52
Initiative à encourager. Merci et bravo aux promoteurs du mouvement 👏👏
03.12 | 09:31
Buenas tardes, encantado de saludarte. Soy Jose
Quería escribirte porque me ha parecido interesante comentar contigo la posibilidad de que tu negocio aparezca cada mes en periódicos digitales como not
30.11 | 11:53
Bonjour Mme et toutes mes félicitations,
Je suis à Douala, je suis à la recherche de votre tisane. Avez-vous une représentation à Douala. Sinon comment faire pour avoir régulièrement votre produit.
28.11 | 21:45
Vive la folie de la littérature