Bien connue de la scène publique Patience EMVOUTOU, cette femme d’origine Camerounaise dont le caractère et la détermination n’est plus à citer, s’implique depuis quelques temps dans le domaine très prisé de l’entrepreneuriat jeune, ceci afin de booster leurs nombreuses initiatives. Ayant lancé un fond d’aide à travers sa Fondation Marlène EMVOUTOU qui œuvre en général pour le social et le développement de projets. Ce 11 février 2022 à l’Hôtel Mérina, la Fondation Marlène EMVOUTOU a remis des appuis financiers à trois jeunes entrepreneurs ayant présentés des projets porteurs de développement dans des domaines biens précis.
« Je suis une personne qui jouis d’une certaine notoriété dans l’opinion publique, et j’avais pensé que je pouvais me servir de cette notoriété pour faire connaître des jeunes talents de notre pays, des jeunes porteurs de projets. Et donc la Fondation dont je suis la présidente a lancée un concours du meilleur jeune entrepreneur. Depuis trois mois nous avons reçu 178 projets que nous avons publiés sur Facebook, et c’est une initiative qui a reçu un engouement, qui nous a surpris et vous voyez aujourd’hui nous sommes à l’apothéose pour remettre les prix qui ne sont pas importants pour nous, mais très importants pour ceux qui les reçoivent.
J’aimerais dire que c’est une démarche que nous voulons inscrire dans la durée. Nous allons nous rendre dans tous les chefs-lieux des régions du Cameroun pour détecter des jeunes talents dans le domaine de l’entrepreuneuriat, des jeunes qui sont bourrés et pétris de talents et qui demandent simplement d’être mis en lumière, parce-que vous savez des initiatives portées par du Crowdfunding.
Le Crowdfunding c’est l’appel de fond populaire, ca existe déjà en Europe, des initiatives qu’on peut faire connaître et qu’il y’ait des milliers de personnes qui décident d’accompagner ce projet qui voit le jour. Nous sommes là pour être du côté de ceux qui ont besoin de lumière et nous voulons utiliser notre petite lumière que nous avons eu grâce à beaucoup de choses pour mettre en avant une jeunesse qui veut faire développer ce pays. » S'est prononcée Marlène EMVOUTOU.
Il faut noter que ces jeunes entrepreneurs ont déjà des entreprises et des petits commerces et bénéficient de cet appui pour relancer leur part de marché. Nombreux sont ceux qui étaient présent et se sont démarqués par leur attarctivité dans le secteur de l'informel et du privé. La présidente de la fondation fera un arrêt sur la bravoure d'une jeune entrepreneure qui dispose non seulement d'un call-box mais excelle également dans le domaine très prisé de l'onglerie. Cette dame malgré son handicap (personne à mobilité réduite) a démontré de son savoir-faire et de sa hargne pour frayer un chemin dans le monde quelque peu sinueux de l'emploi. La Fondation Marlène EMVOUTOU précise qu'elle ira dans toutes les régions du Cameroun afin de faire découvrir ces nombreux talents que regorge le Cameroun dans le domaine de l'auto-emploi et de l'entrepreneuriat jeune.
Une idée plus qu’un projet
« Nous ne choisissons pas les types d’aides, vous voyez des parcours différents, des parcours des chefs d’entreprises que nous avons reçus ici, ça part de la coiffeuse à l’ingénierie mécanique. Nous tous ce qui nous intéresse c’est de savoir si c’est un projet pertinent, si c’est un projet qui peut amener notre pays au développement, si c’est un projet qui met en avant le génie de la jeunesse Camerounaise. » A continué cette dernière.
Le prix du meilleur projet jeune est une initiative certes conçue pour booster la jeunesse dans le domaine de l’entrepreneuriat, mais demeure aussi un espace destiné à laisser une porte ouverte à la créativité et à la lutte contre le chômage et la précarité. Soucieuce du devenir de ses concitoyens, Patience EMVOUTOU, arbore plusieurs casquettes dans de nombreux domaines et jouit sans conteste d’un pragmatisme et d’une visée vers un développement succinct de la jeunesse émergente du Cameroun. Cette première cérémonie sera éventuellement suivie de nombreuses autres posant ainsi les jalons pour une entrée en matière dans le domaine de l’auto-emploi. Ces jeunes entrepreneurs ont tour à tour appréciés cette initiative, même ceux n’ayant pas reçus de distinctions car face à cette initiative, ils pourront éventuellement dans les prochaines échéances s’investir encore plus.
« Je peux qualifier en tant que spécialiste de la Communication que cette opération sur les réseaux sociaux n’était qu’une opération de communication pour faire connaitre les activités de la Fondation dans le domaine de l’entrepreneuriat.
Mais plus sérieusement et plus concrètement nous allons faire le tour des régions du Cameroun pour détecter des projets qui méritent d’être mis en lumière, qui méritent d’être soutenus et nous allons initier une plateforme pour permettre le financement de ces initiatives là. L’idée pour nous est d’abord de faire connaître ces initiatives et quand elles sont connues.
Notre initiative est d’abord pour soutenir l’action du Gouvernement, nous irons vers les autorités gouvernementales pour leur présenter ces talents qui n’ont pas l’opportunité d’êtres connus. La notoriété dont je peux houir aujourd’hui auprès de la jeunesse camerounais, je veux m’en servir pour quelque chose d’utile. On a rapplé tout à l’heure que le Chef e l’Etat a demandé qu’il y’ait une utilisation républicaine et citoyenne des réseaux sociaux. C’est ce que nous eassayons de faire et nous sommes heureux aujourd’hui que cette initiative qui a démarrée sur les réseaux sociaux nous rassemble ici aujourd’hui. » A-t-elle fini.
Odile Pahai
Derniers commentaires
06.12 | 17:52
Initiative à encourager. Merci et bravo aux promoteurs du mouvement 👏👏
03.12 | 09:31
Buenas tardes, encantado de saludarte. Soy Jose
Quería escribirte porque me ha parecido interesante comentar contigo la posibilidad de que tu negocio aparezca cada mes en periódicos digitales como not
30.11 | 11:53
Bonjour Mme et toutes mes félicitations,
Je suis à Douala, je suis à la recherche de votre tisane. Avez-vous une représentation à Douala. Sinon comment faire pour avoir régulièrement votre produit.
28.11 | 21:45
Vive la folie de la littérature