Derniers commentaires

06.12 | 17:52

Initiative à encourager. Merci et bravo aux promoteurs du mouvement 👏👏

03.12 | 09:31

Buenas tardes, encantado de saludarte. Soy Jose
Quería escribirte porque me ha parecido interesante comentar contigo la posibilidad de que tu negocio aparezca cada mes en periódicos digitales como not

30.11 | 11:53

Bonjour Mme et toutes mes félicitations,
Je suis à Douala, je suis à la recherche de votre tisane. Avez-vous une représentation à Douala. Sinon comment faire pour avoir régulièrement votre produit.

28.11 | 21:45

Vive la folie de la littérature

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Cameroun - PCEPS : Léon Claude AMOUGOU AMOUGOU : "Nous sommes un parti du centre qui peut travailler avec tous les partis en fonction des circonstances"

Une nouvelle vision, une autre approche de l'idéal politique jeune, est l'un des contours qu'a introduit Léon Claude AMOUGOU AMOUGOU, Président National du PCEPS (Parti Camerounais pour l'Émergence et le Progrès Social).


L'esprit vif, ce personnage engagé face à cette assemblée réunie ce 08 août 2023 à Yaoundé, sis au siège du parti au lieu-dit Etam-Bafia (jouxtant la Chapelle Mvog-Mbi), a notamment présenté ses aspirations et projets pour un Cameroun émergent et prospère. Respectant les institutions, le PCEPS selon les dires de son leader ne compte pas se présenter aux futures échéances électives présidentielles de 2025. Toutefois, il compte il compte s'imposer au mandat suivant en apportant une démocratie de développement et d'engagement destinée à unir tous les citoyens camerounais.

"Nous croyons que nous sommes une force alternative pour l'émergence du Cameroun et que c'est nous qui portons l'espoir, telle le dit notre devise. Nous sommes un espoir nouveau, une prospérité nouvelle et une justice établie.


La différence avec les autres formations politiques repose sur l'idéal. Nous avons un idéal concret qui est parti de notre engagement à changer le Cameroun. Beaucoup ont créé des partis politiques bien évidemment pour changer le Cameroun, mais n'ont pas pu apporter des solutions adéquates, parce-qu'ils n'ont pas pu choisir d'options. C'est le choix qui détermine les enjeux, c'est le choix qui donne la particularité à notre parti politique et c'est ce choix qui est défini dans notre slogan : 'Tous pour tous le monde'.


Le Cameroun n'est pas l'affaire d'une seule personne, mais l'affaire d'une communauté, donc nous croyons que le Cameroun a besoin de tout le monde pour que nous ayons un développement concret, un développement établit.


Dans nos textes, nous sommes un parti du centre, lorsque vous allez lire le règlement intérieur. Nous avons décidé de ne pas choisi un côté, parce-que nous ne sommes pas dans le comportement moutonnier. Nous sommes un parti du centre qui peut travailler avec tous les partis en fonction des circonstances, parce-que ce que le PCEPS veut, c'est le changement du pays, c'est le pouvoir et nous allons marcher en fonction de ce qui nous conduira au pouvoir suprême." S'est exprimé le Président du PCEPS, Léon Claude AMOUGOU AMOUGOU.



Par ailleurs, ce dernier s'est attelé à demander aux camerounais de vivement s'inscrire sur les listes électorales (un appel aux suffrages). Il s'est dit être contre le vote obligé, car selon lui faire voter obligatoirement les gens, c'est leur faire siéger au sein du communisme.


Rappelons que ce parti politique est réputé légal d'après l'article 7(2) de la loi N°90/56 du 19 décembre 1990, relative aux partis politiques. Le projet de société du PCEPS est intitulé ainsi : "Tous pour tous le monde".


Il est subdivisé en six (6) principes. Dans le principe deux (2) par exemple, il est écrit que le PCEPS est disposé à travailler avec tous les partis politiques qui ne nourrissent pas un discours haineux, notamment de nature tribale et discriminatoire, pour un meilleur épanouissement du dialogue social au Cameroun. Le principe six (6) quant à lui dit que le PCEPS tient à devenir un parti politique de première catégorie à l'issue des élections municipales et législatives prévues en 2025, où il compte sortir avec au moins 60 députés et 100 maires.


Odile Pahai